Nine Lives

Admin Messages : 80 Date d'inscription : 23/11/2012

Il y a quelques jours de cela, j'avais massacré le magicien ainsi que ses enfants lors d'un copieux bain de sang. Ce qu'il avait fait était une honte, que dis-je un affront fait à la Création elle-même mais surtout un gros bras d'honneur à la Mort, ce que je suis. Car oui, je suis la Mort. L'être que vous représentez comme un squelette drapé de noir n'est que le Néant pour vous pauvres mortels. Je suis l'Alpha et l'Oméga, le tout et le rien. Et puis le magicien avait laissé ses pouvoirs à Laura, une femme que je traquais pour la tuer. Car elle possédait le don des neufs vies. Et que j'allais lui les écouler vite fais à cette salope. Salope qui était chez elle. Je le savais de part mon omniscience. J'étais partout et nulle part à la fois, dans l'ombre de ce monde mais en même temps à la lumière. Je rentrais chez elle, prenant forme humaine. Je m'infiltrais dans sa cuisine, couteau en main. Laura cuisinait et je posais ma main sur son épaule droite pour qu'elle se tourne vers moi. Alors, je la poignardais en plein dans son nombril.

Messages : 6 Date d'inscription : 03/09/2016

En cette chaude et rayonnante journée de fin septembre je prenais un peu de repos dans ma villa de Saint Tropez avant de commencer mon travail suivant. Je suis une jeune femme blonde avec un corps superbe avec des mensurations de rêve (90C-55-85) ce qui m'a permis de devenir mannequin et égérie de grandes marques de luxe. Il était presque midi, le soleil presque à son zénith et il faisait chaud très chaud mais contrairement à mon habitude je n'étais pas nue. Je portais un top blanc très moulant qui s'arrêtait juste sous les seins dont les tétons ressortaient à travers le tissus et une mini jupe rouge qui m'arrivait à mi-cuisse ainsi que des escarpins blancs sans talon car j'estime que je suis déjà assez grande, 1m78, pour ne pas utiliser d'artifices supplémentaires. Je me maquille très peu car j'ai une peau douce et dorée, entièrement épilée qui met naturellement en valeur mes yeux émeraudes. J'étais dans ma cuisine et je surveillais la cuisson de ma blanquette de veau que j'avais préparé pour mon repas de midi. Finalement c'était cuit et j'éteins le feu. Je me dirige vers un placard pour sortir un verre et une assiette quand une main se pose durement sur mon épaule droite. Je pousse un cri de surprise et me retourne vivement pour voir qui me fait cette blague. Je me retrouvais devant un homme très beau qui m'enfonça son poignard dans mon nombril sans dire un mot. Les lèvres de ma bouche s'arrondirent en forme de "O" et seul de l'air en sortit. Le poignard ruina mon nombril en traversant le noeud de ma naissance puis mes muscles puis la paroi péritonéale et fini par s'enfoncer dans mon intestin grêle. J'avais le souffle coupée du sang s'écoulait de la blessure et une douleur infernale remontait de mes tripes déchirées. Alors que mes forces commençaient à m'abandonner je me pendis au cou de mon agresseur et réussis à articuler un mot "Pourquoi?" avant de m'évanouir dans ses bras.

Admin Messages : 80 Date d'inscription : 23/11/2012

Alors que je la poignardais dans le nombril, ma victime enroula ses bras autour de mon cou et s'y pendit avant de me demander pourquoi je faisais cela. Je ne lui répondis pas et elle s'évanouit dans mes bras. Je la frappais au visage pour qu'elle se réveille et la colla au mur avant de lui enlever ses bras de mon cou. Je retirai la lame de son trou de naissance avant de lui replanter juste à côté dans le ventre. Et je continuais à cinq reprises, lui trouant le top qui devenait de plus en plus rouge du sang qui s’écoulait de ses blessures.

Je l'embrassais sur les lèvres avant de lui enfoncer la lame dans le sein gauche en plein dans le téton.

Messages : 6 Date d'inscription : 03/09/2016

Quand je repris connaissance, une douleur atroce me taraudait le ventre et le sein gauche. Il faut dire que mon beau tueur dont je venais de tomber amoureuse, m'avait ruiné mes ovaires, déchiré mon utérus et tranché mon foie et mon estomac. Je toussais et je crachais du sang, mon corps était agité de spasmes et de tremblements, du sang coulait abondamment de chaque blessure, je savais que j'allais mourir mes blessures étaient trop graves. Alors je lui demandais déshabille moi et fais moi l'amour je veux jouir une dernière fois avant de mourir.

Admin Messages : 80 Date d'inscription : 23/11/2012

Je m'approchais de Laura et la prit dans mes bras pour la déposer de facon un peu brutale sur la table de la cuisine. J'écartais ses cuisses puis retira d'abord ses escarpins puis sa jupe et sa culotte, laissant découvrir que cette pute avait une chatte bien rasée. Puis je la débarrassais de son top moulant qui devenait le morceau de tissu de trop et je jetais ses habits au loin.

Je me décidais à lui accorder ses dernières volontés. Au début j’enfonçais deux doigts de ma main droite dans son vagin, stimulant ma victime tout en lui malaxant le sein droit, le seul que j'avais pas encore abimé. Je voyais dans son mamelon gauche l'impact du couteau qui lui avait déchiré les tissus juste à côté de son téton. J'enlevais mes doigts pour lui caresser l'entrejambe puis de la main droite que je retirais de sa chatte, j'ouvris ma braguette et sortit mon membre avec lequel je la pénétrais.

Je n'y retirais que peu de plaisir, préférant la mort de loin, mais je devais avouer que c'était un plaisir malin que je prenais avec elle.

Messages : 6 Date d'inscription : 03/09/2016

Il m'allonge sur une table, il ouvre sa braguette et sort son membre déjà en érection avec lequel il me pénètre et se couche sur moi. En le voyant au dessus de moi j'ai le coup de foudre. Mes yeux se noient dans les siens, j'ouvre la bouche pour dire quelque chose, mais subjuguée aucun son ne sort. Je sais maintenant que je vais aimer cet homme jusqu'à ma mort quoi qu'il me fasse.

Il commence d'abord par m'embrasser dans le cou, je suis tremblante et gémissante entre ses bras, j'ai les tétons qui deviennent ultra sensibles et qui se tendent vers sa bouche gloutonne. Je ferme les yeux et ne peut retenir les petits couinements qui se bousculent sur mes lèvres quand ses lèvres se mettent à dévorer mes mamelons devenus pourpres.

Malgré mes terribles blessures et la douleur atroce qui me transperce, je frissonne à l'idée de le sentir s'insérer en moi. Il m'a bien écarté les cuisses, et a positionné son gland sur mon clitoris en exerçant de petites pressions. Puis, d'un mouvement lent, il a commencé à me pénétrer avec son énorme sexe noueux et raide comme un sabre, en s'immisçant petit à petit dans ma chatte chaude et trempée. Cette simple sensation me procure un plaisir inouï. Il commence à exercer des mouvements de va-et-vient, toujours de façon très lente. Je l'accompagne en rythme en contractant les muscles de mon vagin autour de sa queue. Il devient de plus en plus énorme et de plus en plus dur.

Je sens que mon point G ne résistera pas longtemps aux frottements de sa queue, et c'est alors qu'un liquide fluide et abondant s'est mis à s'écouler de ma chatte. Plus il va et vient en moi, et plus je suis trempée et cela l'excite au plus haut point. Il module ses mouvements pour me faire gicler encore et encore… Les sensations sont particulièrement intenses et m'ont plongé dans une sorte de transe.

Je gémis tellement c’est bon et encouragé par mes gémissement, il accélère les va et vient. Ils deviennent maintenant puissants, plus brutaux et je sens à nouveau cette fameuse chaleur qui envahit tout mon corps. Je serre ses belles fesses entre mes mains et je lui demande de cogner plus fort. L’orgasme n’est pas loin. Aaaaaaaaaaaaaahhhhh.

Je me ramasse sur moi-même, tous mes muscles se tétanisent, la jouissance m'emporte. Les vagues de plaisir se succèdent, irradient mon corps avant de prendre possession de ma tête pour l'occuper toute entière. Je jouis. Je jouis et c'est bon. Je me laisse porter par les endorphines qui se répandent en moi. Plus rien n'existe, plus rien ne compte, juste cette sensation de plénitude incomparable crée par l'orgasme. Mon amant ne résiste pas au spectacle de la femme en train de jouir. Il explose bruyamment à son tour. Je le sens comme dans un rêve me saisir plus fermement aux hanches puis les spasmes de son sexe dans ma chatte tandis qu'il éjacule au plus profonds de mon vagin. Je n'ai plus d'air, les forces m'abandonnent, la tête me tourne, c'est trop fort, trop puissant. Je m’effondre inconsciente sur la table, épuisée, vidée.

Admin Messages : 80 Date d'inscription : 23/11/2012

Tandis que je la pénétrais de plus en plus violemment, un sentiment que je connaissais point et qui me prit à revers apparaissait. D'habitude je me contentais de tuer, froidement, brutalement, violemment, sans aucun état d’âme. Mais là, je me plaisais à être là avec elle et lui faire l'amour.

C'est alors que Laura se ramasse sur elle-même, tous ses muscles se tétanisent, la jouissance l'emporte. Elle jouissa. Et alors qu'elle jouissait , je ne peux pas résister à ce spectacle, emporté moi aussi dans ce tourbillon de plaisir. J'explose en elle bruyamment et violemment. Je la saisis plus fermement aux hanches tandis que j'éjacule au plus profond de son vagin. Laura s’effondre inconsciente sur la table, épuisée, vidée.

Je me retire d'elle enfin d'entre ses cuisses, je vois sa chatte dégoulinante de mon sperme. Je prends son pouls pour constater qu'elle respire encore un peu. Je me sens heureux mais très vite la colère reprend sa place. Je ne suis qu'un faible, je me le répète sans arrêt. Je me suis laissé aller à la tentation et au plaisir et jamais je n'avais ressenti cela. Tout cela à cause d'elle.

Je cherchais dans la cuisine et trouva trois couteaux de cuisine, à la lame assez longue et large. Je les pris et la réveilla d'une grande baffe sur la joue. J'allais m'amuser encore un peu... mais selon mes règles.

Messages : 6 Date d'inscription : 03/09/2016

Je reprenais vie les endorphines sécrétées par mon cerveau ont complètement anesthésiées la douleur, mon amant tueur est toujours là, je lui passe mes mains derrière sa tête, l'attire à moi et lui délivre un baiser digne de love story. Je lui dis combien je l'aime même si je sais qu'il va me tuer et que pourtant je l'ai lu dans ses yeux il m'aime aussi. Au plus profond de lui brûle la flamme de l'amour qu'il éprouve pour moi. Il est obsédé par mon corps de déesse, il voudrait que je sois à lui pour toujours mais une sorte de colère incompréhensible pour moi l'oblige à me tuer alors que je suis sure qu'il pourrait me soigner.

Je sens la douleur qui revient "Ahhhhhhhhhhhh" et la vie qui s'échappe lentement de mon corps massacré. J'espère qu'il va en finir rapidement avec moi maintenant, je lui dis d'une voie faible "tues moi maintenant s'il te plait", alors que mon corps était saisi de spasmes et de tremblements. "Ahhhhhhhhhhhh"